Damien 43 – Mustapha 02

La discussion avait fait son effet, le pénis de Mustapha était maintenant complètement érigé.
Ce que j'avais devant les yeux était fabuleux, ce sexe était encore plus gros et long que je ne l’aurai imaginé et il était terminé par un superbe gland vermillon très large au bout duquel perlait déjà une goutte de sperme translucide.
Mon copain enleva son tee-shirt et me dit "Déshabille-toi que je vois le cul que je vais baiser".
Lentement j'ôtai mon sweet, je baissai mon jean puis tournant le dos à mon ami je fis glisser le long de mes cuisses mon slip en ondulant.
Mustapha posa une main sur mes fesses pour en apprécier le galbe et me dit "Tu sais que tu as raison d'être pédé, tu as l'air d'avoir un sacré bon cul.
- Merci.
- Ce n'est pas moi qu'il faut remercier, mais par contre tout à l'heure ce sera mon zob que tu remercieras.
- Si tu me baises bien c'est sur.
- Pour bien te baiser je vais bien te baiser mais est-ce que tu es sur que ton trou du cul peut prendre un zob comme le mien.
- Je le crois et d'ailleurs il le faudra bien car j'ai vraiment très envie de sentir ta bite me casser le cul.
- Bien alors allons-y.
- Attends d'abord j'aimerais te faire une pipe.
- Bien sur ma petite pute.
- Assois-toi au bord du lit et laisse-moi faire.
- Bien sur que je vais te laisser faire".
Je m'agenouillai entre les jambes de Mustapha et posant mes mains sur ses cuisses, j'avançai mon visage vers le membre érigé.
Du bout de la langue je recueillis la larme de foutre diaphane que sécrétait le méat.
Cette caresse eut pour effet de faire se dresser et grossir encore l'impressionnant priape.
Tout en cajolant les testicules gorgés de sève je me mis à lécher l'énorme phallus sur toute sa longueur en titillant le frein.
Mon amant rejeta la tête en arrière et soupira tandis que du bout du gland turgescent s'écoulait de plus en plus de sperme.


Au bout de quelques minutes de ce traitement mon homme râlait chaque fois que ma langue inquisitrice remontait sur son bout durci.
Cambré au maximum pour s'offrir totalement à mes attouchements, il disait "Oh oui tu suces bien".
Jugeant que les préliminaires avaient assez duré Mustapha posa ses mains sur ma nuque, je compris ce qu'il voulait.
J'ouvris tout grand la bouche et j'embouchai l'objet de ma dévotion.
Le pénis était si grand que je ne pouvais le prendre entièrement en bouche.
J'enroulai ma langue autour en me mis à monter et descendre dessus tout en le mordillant.
Cette caresse semblait plaire à mon mec qui poussait de profonds gémissements chaque fois que j'avalais la pine tuméfiée.
Longtemps je pompai ce superbe manche jusqu'à ce que je sente sur ma langue la bite tressauter.
Le gland sembla doubler de volume et plaquant mon visage contre son pubis mon amant éjacula en râlant.
Je reçus un abondant flot de sperme au fond de la gorge que j'avalai avec délice tout en cajolant jusqu'à ce que le calme soit revenu la verge qui coulait dans ma bouche.
Quand mon homme me relâcha je m'écartai de lui.
Il me sourit et me dit "Alors là c'est vrai tu as raison d'être pédé, tu suces mieux qu'une pute, c'est super de sentir son zob dans ta bouche.
- Merci, je suis content de voir que tu as aimé.
- Oui j'ai beaucoup aimé.
- Alors c'est bien.
- Oui et regarde mon zob bande toujours.
- Je le vois c'est super.
- Allez viens sur le lit je vais te baiser tout de suite.
- D'accord mais fais doucement quand tu vas me pénétrer, tu as vraiment une très grosse bite.
- AH AH AH !! Ne t'inquiète pas, je n'ai pas envie de te faire mal car si ton cul est aussi bon que ta bouche j'ai envie d'en profiter.
- Merci.
- Allez viens, mets-toi à quatre pattes que je vois ce trou du cul que je vais trancher".
Je pris la position demandée et Mustapha se mit à genoux derrière moi.

Il fit glisser son monstrueux priape dans le sillon de mes fesses brûlantes, s'arrêtant de temps en temps contre mon œillet plissé.
Ce contact m'affolait mais j'attendais avec une très grande appréhension le moment où mon amant allait entreprendre de m'enfiler.
Mustapha continua son manège plusieurs minute, j'avais la raie toute humide de la liqueur séminale restant de ma fellation.
A ce moment positionnant son gigantesque gland à la lisière de ma corolle affamée mon homme me dit "Bon assez joué il est temps de rentrer dans ton cul.
- Oui mais je t'en prie fais doucement.
- Mais oui je sais que ma bite est grosse et que ton trou du cul est petit mais tu vas voir tout va quand même rentrer.
- Je sais mais j'ai un peu peur.
- Mais non ma petite pute, je vais faire mon possible pour que tu souffres le moins, car il est impossible que je ne te fasse pas un peu mal quand je vais ouvrir ton zouk.
- Je sais.
- Si tu veux on peut arrêter, tu me suces et c'est tout.
- Non je veux avoir ta bite dans mon cul, d'ailleurs j'ai déjà le cul en feu, il faut que tu me baises.
- D'accord je vais te baiser, allez courage il faut que tu serres un peu les dents je vais commencer à m'introduire dans ton cul".
Mon amant commença à peser sur mon orifice, quand l'imposant gland commença à écarter mes chairs une douleur aiguë me vrilla le corps et je poussai un cri strident "aaïïïeeee aaaaaïïïïïïeeeeeee !!"
Mustapha me maintenant solidement aux hanches suspendit sa pression et me demanda "Tu veux que j'arrête ?
- Non mais va doucement, mon cul n’a plus pris de bite depuis plus de 4 mois, il est complètement refermé, ouvre-moi le cul par phase, n'essaie pas de t'enfoncer d'un coup tout de suite car je suis sur que tu vas me déchirer le cul.
- Ne t'inquiète pas je ne veux pas te déchirer le cul.
- Merci.
- Allez on recommence, dès que tu as mal dis-le.
- D'accord".
Mon homme s'y reprit à plusieurs fois, chaque fois qu'il sentait une résistance ou que je poussais un cri il arrêtait, me laissait récupérer puis de nouveau pesait sur ma fente martyrisée.

L'intromission fut longue et pénible, au bout d'un moment Mustapha m'a dit "Ca y est ton cul est ouvert, maintenant je vais pouvoir te pénétrer".
Il posta son superbe sexe contre mon sphincter et s'enfonça en moi par petits coups de reins.
Bien que je fusse bien ouvert, une douleur intense s'insinua en moi et je poussai un cri de souffrance.
Mustapha sourd à cette manifestation continua à s'introduire en moi jusqu'à la garde.
Quand je sentis contre mes fesses les poils follets du pubis de mon homme je sus qu'il était en moi complètement.
J'avais les larmes aux yeux et j'avais l'impression que mes miches allaient se détacher tant mon anus était distendu, j’avais l’impression d’être redevenue vierge du cul et que jamais une verge ne m’avait autant rempli.
Mon amant me dit "Si tu as trop mal je peux ressortir et on arrêtera là.
- Non j'ai encore mal mais je sais que quand mon cul va se détendre ça va passer et puis je n'ai pas souffert autant pour rien je veux que ta bite me casse le cul et qu'elle tire son lait dans mon trou.
- Comme tu veux".
Mon mec resta quelques instants immobile, me laissant m'habi à sa fabuleuse présence qui m'obstruait le fondement.
A un moment je sentis mon anneau céder et la douleur devint moins vive.
Je tournai la tête vers mon mâle et lui dit "Maintenant vas-y défonce-moi, fais-moi du bien".
Me prenant aux hanches, Mustapha commença à aller et venir en moi lentement m'arrachant à chaque passage de petits cris de souffrance.
Au bout de quelques instants mon anneau se décontracta et la douleur fit place à un profond bien-être.
Mon amant me possédait lentement de toute la longueur de son impressionnant membre m'extirpant de lourds gémissements.
Le monstrueux phallus plongeait complètement en moi pour ressortir presque entièrement la seconde suivante.
Mon anus avait totalement cédé et la puissante verge coulissait en moi sans gêne aucune.
J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux fermés je savourais la montée du désir dans mon corps enfiévré.

Le ventre plat de mon homme claquait contre mes fesses brûlantes chaque fois qu'il s'enfonçait au plus profond de mes entrailles en fusion.
Mes gémissements s'étaient mués en lourds râles de bonheur, je planais littéralement sous les coups de boutoir redoublés que mon mec m'assénaient.
Chaque fois que la puissante bite se plantait au fond de mon cul je me sentais partir un peu plus.
Seul comptait pour moi la formidable queue qui me forait les reins m'agrandissant la pastille à chaque assaut.
Mon amant avait posé ses mains sur mes épaules et me besognait en de larges coups de reins me faisant sombrer de plus en plus dans le plaisir.
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum enflammé, tout en moi appelait le mâle, je poussais des petits cris de bonheur chaque fois que la bite raide se fichait en moi.
Perdant toute retenue je me mis à rouler des hanches en cadence tout en me cambrant au maximum pour m'offrir totalement à cette magnifique hampe qui me ramonait le prose.
Je ne sais combien de temps Mustapha me posséda de la sorte, je ne vivais plus que pour et par le sexe qui me cassait un peu plus le cul chaque fois qu'il m'enfilait jusqu'à la garde.
Mes cris s'étaient transformés en hurlement de plaisir, je n'étais plus que jouissance et je sentais monter en moi un fade somptueux.
Les coups de bite que je recevais étaient de plus en plus violents, je sentais dans la chair de mes épaules les doigts de mon amant se crisper.
Le bonheur que me procurait cette pine roide qui me fouillait était si grand que je voulais que jamais cela ne s'arrête, j'avais atteint la plénitude rectale.
Longtemps mon homme me pilonna l'anus en de rudes coups de boutoirs, dans la pièce on entendait les bruits de succion que faisait mon canal chaque fois qu'il avalait la hampe démesurée.
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
Un orgasme tumultueux me transperça et un hurlement déchirant pulsa de ma gorge.
Je tendis mon postérieur vers le membre qui me limait pour accen la pénétration puis je tombai lourdement sur la couche perdant connaissance.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!